Le soutien militaire à l’Ukraine, une folie meurtrière.

Zelinsky a compris le bien fondé de pérenniser ses tournées commerciales avec une communication éprouvée auprès de la communauté internationale et surtout de « l’impératrice Von der Leyen ». Il continue donc tambour battant ses visites protocolaires pour continuer à récolter des fonds, des équipements militaires voire des aides à la formation alors que sa défaite est quasiment acquise perdant quotidiennement plus de 30km face aux avancées des troupes russes. 

La situation militaire en Ukraine

Le renouvellement des combattants est quasiment à l’arrêt en raison des désertions et des fuites des hommes à l’étranger. Des brigades de policiers sillonnent les rues de Kiev et des grandes villes pour arrêter les hommes et les envoyer au front.

La moyenne d’âge des combattants ukrainiens est désormais d’environ 43 ans quand les conscrits de 1914 affichaient une moyenne de 21 ans. Ces prochaines récoltes financières pourraient venir s’ajouter aux quelques 300 milliards déjà perçus !!

L’entrée en scène de Trump

L’arrivée de Trump à la Maison Blanche le 20 janvier devrait très rapidement déclencher la signature d’un cessez-le-feu. Reste à trouver les bonnes formules applicables. Surtout il faudra faire valider une zone tampon face à la Russie et le recul des forces de l’OTAN du territoire ukrainien et des pays voisins. Schéma qui devait d’ailleurs être acté suite à la dislocation du bloc soviétique fin 1991 et qui n’a pas été respecté par l’Otan qui a continué à enrôler en son sein plusieurs pays de l’Est. 

Biden a quant à lui su instrumentaliser l’Europe avec l’Otan comme cheval de Troie. Il aura réussi à rassembler diverses forces et manipuler les opinions européennes pour que le conflit prenne une dimension supérieure avec pour objectif d’affaiblir voire anéantir les forces russes et destituer Poutine.

Le pion idéal de l’OTAN : Macron 

Il faut dire que Macron, depuis l’engagement des USA dans ce conflit russo-ukrainien sous couvert de l’Otan était la marionnette idéale pour endosser le costume d’un petit « fox-terrier » bien aux ordres de Bruxelles.

Son narcissisme maladif a fait le reste et cette course au soutien à l’Ukraine ne pouvait que l’inciter à s’inscrire comme le chef suprême. Ses déclarations tonitruantes furent accompagnées d’octroi de milliards d’euros, de dons de matériels des armées françaises et de programmes de formation de brigade de soldats ukrainiens (la première expérience a fait long feu suite aux désertions des soldats ukrainiens).

Tout ce catalogue fait partie de son discours de va-t-en-guerre sans omettre son projet de déployer des troupes au sol pour tenter principalement de briller face à la communauté internationale. Il n’a que faire du danger que représenterait cette posture face à l’ours russe.

Sur ce dernier point il est consternant qu’aucune opposition politique ne se soit élevée pour interdire de franchir ce rubicond qui pourrait bien faire de ce déploiement au sol de combattants un casus belli avec Poutine. 

Où sont les chefs militaires qui auraient pu l’en dissuader quitte à démissionner en masse de leurs postes pour renforcer cette position et se soustraire à toute implication militaire périlleuse ? Trop soucieux peut-être de vouloir conserver leurs attributs ils n’ont dit mot même face au risque d’être responsables de la mort de nombreux soldats français encore une fois pour un conflit qui ne nous regarde pas. Pure folie bien que plusieurs éléments des forces spéciales soient déjà intégrés aux forces ukrainiennes.

Comme pour la crise du COVID nos gouvernants n’ont eu de cesse d’agiter le chiffon rouge de la PEUR, concept classique qui pétrifie les hommes et anesthésie les cerveaux. Comme si Poutine avait planifié de « venir se baigner dans l’Atlantique » !

L’option de Paix 

Macron a profité de la visite de Trump en France pour le convier ainsi que Zelinsky à l’Élysée. Il a voulu apparaître comme le conciliateur de paix au nom de l’Europe offrant même avec le concours de l’ex premier ministre néerlandais et secrétaire général de l’OTAN un engagement important de troupes au sol.

On peut imaginer que cet entretien n’aura pas trompé Trump qui a toujours pris MACRON pour un « idiot » selon ses mots. Ce 47^ème président américain n’a nul besoin d’aide pour parvenir au cessez-le-feu définitif entre la Russie et l’Ukraine.

Dans le même temps la France vient récemment d’autoriser l’Ukraine à lancer un missile SCALP à l’intérieur du territoire russe, contrairement aux limitations d’emploi des armements de l’OTAN (posture défensive uniquement !).

In fine ceci pourrait participer activement à des actes de rétorsion de la Russie contre la France.

Trump a déjà fait plancher ses conseillers et a prévu de rencontrer Poutine dès son investiture à la Maison Blanche. Il a pour ambition de mettre un terme à la guerre en Ukraine et le chaos au Proche-Orient.

Par ailleurs l’OTAN va commencer à transpirer et par là même mettre Von der Leyen et Macron en totale panique. Ce sera alors le moment pour ce dernier de réviser son jusqu’au-boutisme dans le soutien à Zélinsky.

Si Trump parvient à faire appliquer son plan de Paix dés son investiture il en sera fini des élucubrations de Macron de lancer une guerre face à Poutine avec des soldats français. Nous éviterons ainsi des pertes humaines inutiles pour un conflit qui encore une fois ne nous concerne pas